Jean-Michel Coulon

18 Octobre 2017 - 17 Novembre 2018
Présentation
La Galerie Dutko a choisi de dévoiler une cinquantaine d’oeuvres, huiles sur toile et collages des années 40 aux années 2000. L’exposition révèle sa force d’abstraction, son écriture en lacets puis géométrique, la densité de la matière avec le travail en épaisseur au couteau, à la brosse sur papier, sur bois ou encore ses collages des dernières années.
Vues de l'exposition
Communiqué de presse
Après le succès de ses expositions à Paris et à New York en 1950, c’est dans un secret quasiabsolu que Jean-Michel Coulon (1920 - 2014) a passé sa vie à créer, dessiner, peindre, ne  laissant personne entrer dans son atelier. En 2014, à sa mort, sa fille découvre une oeuvre structurée, abstraite, de plus de 800 peintures et collages, inédite et intacte.
 
La Galerie Dutko a choisi de dévoiler une cinquantaine d’oeuvres, huiles sur toile et collages des années 40 aux années 2000. L’exposition révèle sa force d’abstraction, son écriture en lacets puis géométrique, la densité de la matière avec le travail en épaisseur au couteau, à la brosse sur papier, sur bois ou encore ses collages des dernières années.
 
Des débuts prometteurs. Encouragé par Picasso, Jean-Michel Coulon participe, à 29 ans, à l’exposition de groupe chez Jeanne Bucher aux côtés de Braque, Picasso, Klee, Lurçat, Lanskoy, Staël, Vieira da Silva, Kandinsky. L’année suivante, en 1950, Jeanne Bucher lui consacre une exposition personnelle qui attire tout le monde de l’art avec la venue de Rothko, Vieillard, Deyrolle ou encore Arnal. Ce succès à Paris le conduit à New York où il expose à la Galerie Sidney Janis qui confronte, pour la première fois, les peintures américaines à celles de l’École de Paris.
 
Jean-Michel Coulon décline ensuite la plupart des propositions d’expositions. Loué par ses pairs qui rencontrent la célébrité, il semble refuser la reconnaissance du grand public. Après plusieurs décennies, la Galerie DUTKO a choisi de dévoiler une cinquantaine d’oeuvres, huile sur toile et collages des années 40 aux années 90. L’exposition révèle la force de l’abstraction, l’écriture en lacets puis géométrique, la densité de la matière avec le travail en épaisseur au couteau, à la brosse sur papier, sur bois ou encore ses collages des dernières années. Elle raconte aussi ses influences et ses voyages, la découverte de New York et de l’Italie. La palette de couleurs varie des ocres au blanc, gris et noir et aux couleurs vives.